Vous je sais pas,

je regardais, peinard, des photos de cul sur internet vu que je sais pas à quoi que ça sert d'autre. Et tout à coup, Sky & horreur : le synode !

D'une : j'avais pas été inbité, non : invité mais quand on est aussi polyglotte comme moi, ça prête à confusion.

Donc, si j'ai tout bien compris

Y s'est rien passé.

D'un côté, j'en ai rien à secouer, mais ne blaguons point car ces questions ne supportent guère l'approximation.

à ce qu'on dit.

Qu'on glonfe un plug anal de vingt-quatre mètres (de haut, la la

Non, mais sérieux, mis à part que le pseudo-correcteur comme une merde qu'il est)

n'empêche le synode, c'est pas une connerie.  Y'avait même des évêques NOIRS !

Comme quoi on peut être à la fois noir et cons et en plus évêque. On n'arrête pas le progrès.

N'empêche, ça fout trouille.

Du coup je  m'ai soigneusement examiné tous mes troux (je mets un "x" on sait jamais)

on n'est jamais sûr de rien mais quand  même: synode ou pas...

A vrai dire, j'en ai plein le 

QUOI?

Mais non : j'en ai juste qu'un poil ras-le-bol.

Hein, quoi ? J'ai encore dit des trucs de cul ?

Let's go !

http://www.medisite.fr/actualites-un-plug-anal-cest-quoi.715476.2071.html

Je comprends que ça foute trouille à la Le Pen's family, mais ils ne sont pas obligés de se le mettre dans le cul. Ils ne sont pas équipés pour ça bien qu'ils soient des gros trouducs.

J'ai dû pondre ici un article faisant l'éloge du pal (Siné m'a inspiré aux joyeux temps où l'on devait dire les pires horreurs pour être pris au sérieux). Même, dans un album d'"Iznogoud" dont j'ai oublié le titre mais pas les images, il y avait une grosse fée qui se baladait dans les couloirs du palais de Dilath-Larat (le calife) et qui se heurtait au grand vizir : boïng !

--tu sais ce que c'est qu'une fée, abruti ?

--et toi (lui répliqua le grand vizir) tu sais ce que c'est qu'un pal ?

 Marine (c'est pas son vrai prénom, c'est un plan marketing du vieux borgne pas encore -hélas !- empalé : c'est une contraction de "Marie-Christine" qui fait plus "breton".) J'en connais une, c'est ma petite sœur. Elle est nettement moins facho que son homonyme; j'en suis heureux. Elle tire son prénom du jour où, dans la deuxième 203 que mon père s'était offerte -la première, il l'avait cabanée sur une petite route du morbihan, Marine était dans le ventre de notre mère, c'est vous dire à quel point mes parents étaient "responsables"- et qu'on prenait le bac à Bénodet. De l'autre côté, c'est Sainte-Marine. Voilà qui a fait "tilt" dans la tête de nos parents ! Ayétait ! Si c'était une fille, la survivante de l'accident -et ce serait, ce fut une fille- elle se prénommerait Marine.

Notre père était alors interne en médecine à Saint-Brieuc, un hosto tout pourri. Pas seulement parce qu'il suffisait qu'on passe, dans ce couloir lugubre, devant les petits escaliers émanant des cuisines pour qu'aussitôt j'aie la gerbe, accentuée du fait que c'était bourré de bonnes sœurs à l'ancienne avec cornette et tout l'attirail. Imaginez : vous avez des problèmes rénaux et c'est une vieille nonne rassise qui vous introduit une sonde dans la bite... Elle le fait par amour de l'humanité et son abnégation ne fait aucun doute, mais si vous bandez, vous êtes un sacré pervers et je ne vous adresse plus la parole.

Il avait donc interrogé la secte qui forçait mon autre sœur (Françoise) à jeter par terre pour la fête-dieu les jolis pétales (un film en témoigne) qu'elle aurait préféré se garder. La sœur-en-chef avait d'abord dit à mon père: "marine ? jamais n'y eut sainte chrétienne homologuée appelée ainsi". Mais elle fit des recherches dans ses grimoires secrets et quand Marine naquit, elle fut baptisée sous l'égide d'une bonne douzaine de saintes attestées par le droit-canon. Niarque-niarque !

Ils sont cons.

Même si je n'étais pas athée (ça m'a pris tout-petit, en fait ça ne m'a jamais pris) j'aurais de sérieux doutes sur ce que peuvent proférer un pape, un de ses subalternes (je suis assez nul pour les grades, tant ecclésiastiques que militaires, je me demande si je serais pas un poil anarchiste : des évêques ? des colonels ? des trucs comme ça) j'aurais du mal à considérer leur discours comme valable.

Si j'ai un "coming-out" à faire, c'est celui-là : même si j'ai un respect absolu de Voltaire (que j'ai beaucoup trop lu, trop jeune), mais son "horloger" me reste en travers de la gorge. Voltaire fut un con. Il a des circonstances atténuantes, remarquez ! De son temps, il n'y avait pas le LHC, ni le carbone quatorze et tout ce qu'il y a maintenant -qu'y pouvait savoir que ça existerait-

ça déchire grave, hein ?

Alors, tout bien réfléchi, c'est pas la taille qui compte, ni les Giga-électrons-volts : vous savez quoi? c'est une mesure de l'énergie ! étonnant, non ?

Bzxzh

Oncle Marc