Vous je sais pas, vous avez vu le truc qui rend l'état français fautif question algues vertes.

Once upon a time, mon petit frère et moi on naviguait pas avec un porte-avions, hein! un zef

bon là sur la photo c'est pas nous mais pas loin.

Sympa comme coin, non?

A l'époque (ancienne) les huîtres dont la baie est trop pleine, grr! les enculés d'ostréiculteurs qui me soupçonnaient faut pas déconner de piller LEURS parcs -concédés sur le domaine public maritime- avec mon haveneau à crevettes, avaient été remplacées par (crass)ostrea gigas d'origine probablement japonaise... 

Crass: ce n'est pas sale, c'est du latin ça veut dire "beau" bin si c'est comme ça. Vous aviez qu'à pas faire un CAP de merde mais c'est pas votre faute, mais revenons à nos NON! j'ai pas dit moutons.

Gigas se comprend d'emblée ça veut dire géant et pour en avoir collecté d'échappées ayant pu croître hors des sacs   je peux gnagnagna en parler avec autorité.

Bon! pour les ouvrir faut un burin et des gants, ou user de stratagèmes barbares genre les poser sur de la braise mais je vais encore avoir des couilles avec brigitte bardot et j'aime moyen.

N'empêche ça fait un gros bifteck pas dégueu. Une sauce aux petits oignons par dessus, manquent plus que les frites.

On a donc accosté à l'île de la chèvre dont il existe, Google dixit, des quantités de par le monde (copieurs!), celle-là appartenait à Anne Jouanjan, la meilleure copine de ma Mamie, cf Plouézec. Si! ça existe:

ça troue, hein?

La maladie n'avait pas du tout ravagé les parcs à huîtres, encore eût-il fallu qu'ils existassent, toujours est-il que déferlèrent les sargasses où s'englua paraît-il christophe colomb et qui font un substitut intéressant aux algues vertes.

On se demande pourquoi, non: on sait pourquoi! on a jeté l'ancre, équipement indispensable sauf sur les planches à voile on sait pas pourquoi. On se boit un coup on se casse une graine et on va se promener dans les rochers... où il y a des trous, on appelle ça des mares mais c'est des trous qui se remplissent allègrement de tout un tas de saloperies dont des algues, les-dites sargasses.

L'ennui c'est qu'au mois d'août, même en Bretagne, il fait beau. J'ai posé ma botte sur ce que je croyais être un sol stable. Tiens! Des queues! Je me suis enlisé et il est monté une puanteur toxique (je sais pas) dont je suis sorti vivant contre toute expertise d'experts en tout, alors les algues vertes ou pas, je connais. Si j'avais été une bande de phacochères j'aurais fait un gisement de fossiles à condition d'attendre assez longtemps mais bon l'urgence, tout ça...

J'ai sorti les pieds de la merde sous les moqueries de mon frère, je lui dois une grande claque dans la gueule.

Oui, qu'on soit cheval, sanglier ou simple humain on peut crever dans une fosse à merde en laissant faire.

Bzxzh

Ne vous attendez pas à ce que je signe tonton marc

L'état est coupable de quoi je ne sais pas, si! de laisser pourrir (oh! moi; c'est pas mon affaire...) au sens "propre"!?! je m'en lave les mains (avec du savon, SVP) des rejets pour ne pas dire de la merde sur des rivages qui devraient être communs mais pas encore assez chers.

Vive l'anarchie; jamais elle n'aurait permis/autorisé cela.